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Le folklore estudiantin liégeois.

Photo de folkliegeois

folkliegeois

Description :

Salut à toi qui débarque dans notre belle cité. Ici tu trouveras le folklore liégeois que l'on inculque au bleu en période de bleusaille et ce jusqu'au baptême . Sache que étudier dans une ville c'est aussi côtoyer d'autres personnes et des traditions diverses.

Si maintenant il te viens l'idée de faire ton baptême j'espère que ce sky sera au niveau de tes attentes pour en savoir un maximum sur notre folklore déjà si vieux.

Antoine .S

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La toge decription

La Toge

Comme nous l'avons décrit un plus haut, la toge (du latin TOGA) est un habit porté par les membres d'un comité de baptême estudiantin. Appelé également l' « habit de lumière » pour se donner plus d'importance ;-) , la toge représente plus qu'un simple habit. On doit la porter fièrement car elle représente les couleurs du comité. A l'instar du tablier, la toge peut, être lavée, car ce sont les couleurs du comité (on imagine facilement, qu'après quelques guindailles, les couleurs ont un peu été recouvertes). Tout comme la penne, la toge se fait dépuceler, lors de la soirée intronisation des nouveaux membres du comité. 3 trous sont alors fait à l'aide d'un cigare ou d'une cigarette sur le rabat de celle-ci.

Cette dernière se compose de 3 éléments principaux :

1. Le corps
2. Le rabat : situé à l'arrière, entre les omoplates,
3. Le liseré : qui fait les bords de la toge,

4. Les manches : les manches de la toge, ont la même couleur que le liseré, mais représentent

A ces 3 éléments standard, peuvent venir s'ajouter suivant la fonction et le titre, d'autres éléments :

>>> Les épitoges : une épitoge est une bande de tissu distinctive portée par-dessus la toge (d'où son nom) Composé d'une bande de tissu et des « pompons » de couleurs blanches, il pend sur l'épaule gauche. Le nombre d'épitoges varie en fonction du grade dans le comité.

1. 3 épitoges : Président
2. 2 épitoges : Vice-Président
3. 1 épitoge : Trésorier & Secrétaire

Le Président Agel aura 4 épitoges. Sauf en droit ou l'on n'a pas d'épitoges.
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#Posté le jeudi 15 mai 2008 05:22

Le Baptême

Le Baptême
Au cours des années 1970, une énorme majorité de comités de baptême disparurent. A liège, ne subsistèrent que les baptêmes Ingés, Luxembourg et Paludia (raison pour laquelle les baptisés Paludia portent la toge, comme dans le temps). Plusieurs médecins irent donc se faire baptiser à Cureghem durant cette période. En 1981, un groupe de carabins motivés se firent baptiser en Ingé afin de former le Comité de Baptême Médecine nouvelle formule qui recommença à baptiser durant l'année académique 1982-1983.
Le grand baptême réputé au cours des années 70 était le baptême Vétérinaire. Quand le comité redémarra en 1982, il s'en inspira beaucoup : le baptême médecine actuel ressemble donc beaucoup au baptême Cureghem. Cela n'a pas toujours été le cas.
Au départ, on baptise lors d'une fête, souvent l'aubade au recteur au 19e siècle. Il s'agit effectivement d'actes isolés : le bleu se cherche un parrain qui baptise sa penne : pas de parcours donc.
Ce n'est que + tard, avec l'apparition de nombreuses sociétés d'étudiants, que le baptême s'institutionnalise. Début 1900 en tout cas, les cercles baptisent en groupe et cela va en s'amplifiant. Il n'y a, à l'époque, aucune dissociation entre cercle et comité de baptême, tout ce fait au cercle régional, facultaire ou politique. L'Association générale (ancêtre de la Fédé) compte aussi une section folklorique qui est à l'origine de la création de la Saint Torê (Cf Supra : Dehousse & Fièvet).
Progressivement le baptême de la penne devient son dépucelage et le baptême descend sur le bleu qui subit des épreuves. Après la deuxième guerre mondiale, on rencontrait encore les deux tendances : des baptêmes individuels et des baptêmes collectifs : en médecine, on pratiquait les baptêmes individuels.
Puis peu à peu, les étudiants furent amenés à créer un véritable baptême avec un vrai parcours. Ce parcours était en relation avec ses études :
- les médecins baptisaient dans le sang
- Les sciences baptisaient dans le bleu de méthylène
- Les vétés baptisaient avec des abats (couilles de taureau,...)
Mais rien n'était mélangé (pas d'abats ni de bleu de méthylène dans le parcours médecine).
C'est au renouveau du folklore (1982) que les cercles se dissocient des baptêmes et qu'apparaissent les comités de baptême. Au même moment, la toge, mais aussi la penne, est réservée aux baptisés. Avant, la penne est portée par tous les étudiants, même non baptisés, ce qui leur vaut le nom de poireaux.
C'est aussi à cette période de renouveau qu'on a tout mélangé en rassemblant les souvenirs de tous pour refaire un parcours, et comme le baptême Cureghem était à la mode, les abats occupèrent une grande place. Dans les années 80, les baptêmes des différentes facultés se ressemblaient donc beaucoup et ressemblaient en fait ... au baptême médecine actuel car nous avons été les seuls à avoir privilégié la tradition à l'originalité : les autres comités disent donc que notre parcours est nul car il est chaque année le même et d'une grande banalité mais cela est en fait notre qualité puisqu'il est en fait le plus « traditionnel » de tous les parcours. Néanmoins, on ne peut reprocher aux autres comités d'avoir modifié leur parcours et d'avoir créé des spécificités proches de leurs études puisque c'est en fait la tendance que l'on avait avant 1970 !
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#Posté le jeudi 15 mai 2008 05:30

Le valeureux liégeois.

Valeureux Liégeois est un chant patriotique créé en 1790 par l'abbé Ramoux, quand la Révolution liégeoise est menacée par le retour des troupes autrichiennes venant rétablir l'autorité du prince-évêque César-Constantin-François de Hoensbroeck.

Gilles-Joseph-Evrard Ramoux naît à Liège le 20 janvier 1750. Il est ordonné prêtre en 1773, et le prince-évêque Velbruck lui octroie la chaire rhétorique du collège épiscopal. Partisans des idées nouvelles, il participe en 1779 à la fondation de la société « Emulation », dont il devient administrateur et bibliothécaire. A la mort de son protecteur en 1784, il est nommé curé de Glons et le restera pendant plus de quarante-deux ans.
Passionné de botanique et d'histoire, il s'adonne aussi à la poésie et à la musique. Il écrit le « Valeureux Liégeois » en 1790, à la demande de Lambert-Joseph de Donceel, commandant des milices liégeoises, qui souhaite un hymne national « pour expulser des foyers de nos concitoyens les ennemis de la patrie qui ont osé y pénétrer ».
Voici les paroles de cet air patriotique, plusieurs fois modifiées depuis lors (le texte original ne comporte que deux couplets; celui reproduit ci-dessous en compte quatre).

Refrain:
Valeureux Liégeois,
Marchez à ma voix,
Volez à la victoire!
Et la liberté de notre Cité
Vous couvrira de gloire.

Couplets:

Célébrons par nos accords
Les droits sacrés d'une si belle cause,
Et rions des vains efforts
Que l'ennemi nous oppose.

Que peut craindre notre ardeur?
Sous Chestret nous portons les armes:
A côté de ce vainqueur
Le péril a des charmes.

César vainqueur de l'univers
Te décerna le titre de brave,
Des Romains tu brisas les fers,
Jamais tu ne vécus esclave.

Tendres époux, jeunes amants
Pour quelques jours, quittez vos belles;
Reparaissez triomphants,
Vous en serez plus dignes d'elles.


Folklore étudiant

Les étudiants liégeois de l'ULg, des régionales liégeoises des autres universités (UCL,...) et des hautes écoles liégeoises ont pour tradition d'entonner une version qui comporte ce refrain :

Valeureux Liégeois,
Fidèle à ma voix,
Vole à la victoire.
Et la liberté
De notre cité
Te couvrira de gloire
et uniquement les couplets 1 et 3.

La tradition veut qu'apresle chant le président lance le Ban liégeois.(créer en 1926)
- A-s' veyou - L'Torè !
- Est-i bê ? - Awè !
- Ki magne-t-i ? - Dès porês !
- Ki beût-i ? - Dès pèkèts !
- Ki fèt-i ? - Dès p'tits vês !
- En a-t-i ? - Awè !
- Kimin sont-èlles ? - Hénaurmes !

Suit alors la fameuse chansonnette où les mains remuent en mesure, comme celles d'un marionnettiste :
- La la la la La la la la la . . .

L'initiateur peut alors lancer le ban de clôture :
- Et co'n fèye po nin l'rouvî . . . - Allons Lîdge !

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#Posté le jeudi 15 mai 2008 05:35

Modifié le mardi 26 août 2008 03:09

Le chant des wallons

Le chant des Wallons


Que jusque tout au bord
L'on remplisse nos verres,
Qu'on les remplisse encore
De la même manière,
Car nous somm's les plus forts
Buveurs de blonde bière...

refrain:
Car nous restons
De gais wallons
Dignes de nos aïeux, nom de Dieu !
Car nous sommes comme eux, nom de Dieu !
Disciples de Bacchus et du roi Gambrinus !

Nous ne craignons pas ceux
Qui dans la nuit nous guettent,
Les flamands et les gueux
A la taille d'athlètes,
Ni même que les cieux
Nous tombent sur la tête...

Nous assistons aux cours,
Parfois avec courage,
Nous bloquons certains jours,
Sans trop de surmenage,
Mais nous buvons toujours
Avec la même rage...

Et quand nous ferm'rons l'oeil
Au soir de la bataille,
Pour fêter notre deuil
Qu'on fasse une guindaille,
Et pour notre cerceuil
Qu'on prenne une futaille...

Et quand nous paraîtrons
Devant le grand Saint-Pierre,
Sans peur, nous lui dirons;
"Autrefois, sur la terre,
Grand Saint, nous n'aimions
Qu'les femmes et la bière !"
-----------------------------------------
Et quand nous seront pleins,
Nous irons jusqu'en Flandre,
Armés de gros gourdins,
Pour faire un bel esclandre
Et montrer aux Flamins
Comment c'qu'on sait les prendre !

Et puisque les calottins
nous abreuvent d'injures
qu'on leur disent en latin
notre horreur de la fripure
Des moines des sachristins
Et des saintes écritures.

Les deux derniers couplets ne sont plus chanté de même que le "todi" et le "a poil"
Car ils sont repris par les flamands pour se moquer des wallons.
D'autres étudiant rajoute le jamais nous assitons aux cours.... et nous bloquons certains jours....
Mais il faut égallment préciser l'origine de ce chant.
Il es tlouvaniste et a été ajouter au bitu d ela guindaille en 1913
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#Posté le jeudi 15 mai 2008 05:46

Modifié le jeudi 15 mai 2008 05:59

La penne origine

Un couvre chef, à quoi ça sert ?
- Le port de celui-ci (le port sur la tête encore plus que le port en bandoulière), montre son adhésion à une communauté étudiante et l'attrait d'une certaine ambiance estudiantine décontractée mais respectueuse des traditions.
- De par sa forme et sa couleur, il permet de connaître l'université voire la faculté d'appartenance
- De par les insignes qui s'y retrouvent, il permet de connaître globalement la provenance, le parcours estudiantin et le mode de vie de celui qui le porte, ainsi que ses attaches particulières avec un cercle ou une régionale.
La penne, comme les autres couvre-chefs, est donc un instrument d'identification du guindailleur. Pour remplir son rôle, elle doit respecter des règles folkloriques de décoration. D'où l'importance de ne pas la décorer n'importe comment et d'y faire attention ! Déjà en 1958, on pouvait lire dans ce qui était l'équivalent du Taenia (le Taenia s'appelait alors "le Carabin"): "Nous rappelons qu'une penne n'est pas un étalage de quincaillerie où l'on accroche tous les pendentifs trouvés dans les appareils à Chewing-Gum mais uniquement des insignes à thème estudiantin, des souvenirs de festivités, des médailles d'appartenance à des cercles, etc..."
La Penne
Le terme de penne est un mot d'origine wallone signifiant visière.
La penne apparaît à l'ULB vers 1850 et se porte avec une visière courte. Elle est inspirée de celle des étudiants Allemands et se porte beaucoup moins que la faluche. Elle pris volontairement l'allure d'une casquette, emblème des gens du peuple et des progressistes.
A Liège, pas de trace de penne avant 1860. Peut de temps après, un étudiants est retrouvé mort dans le Rhin, près de Cologne, sur le bord, on retrouve ses affaires, dont sa casquette d'étudiant verte de l'Université de Liège. Petit rappel, c'est en 1860 que les étudiants adoptent le vert comme couleur... C'est cette couleur qui ornera toutes les pennes jusqu'au début du 20e siècle.
La penne à visière longue apparut vers la fin du siècle sous le nom de "crapuleuse". A l'ULB, la penne à visière longue apparut seulement vers les années 1950.

Lors de chants facultaires et autres chants sacrés ,lors d'afond , la penne est portée sur le coeur.

Les chianes sur les pennes sont les chaines jugulaires. Celles-ci portent des objets diverses dessus souvenirs de guindailles ou autres.
A la base la chaine servait a frapper les calottins.
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#Posté le jeudi 15 mai 2008 06:48

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