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Le folklore estudiantin liégeois.

Photo de folkliegeois

folkliegeois

Description :

Salut à toi qui débarque dans notre belle cité. Ici tu trouveras le folklore liégeois que l'on inculque au bleu en période de bleusaille et ce jusqu'au baptême . Sache que étudier dans une ville c'est aussi côtoyer d'autres personnes et des traditions diverses.

Si maintenant il te viens l'idée de faire ton baptême j'espère que ce sky sera au niveau de tes attentes pour en savoir un maximum sur notre folklore déjà si vieux.

Antoine .S

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L'origine du nom "Liège"

Origine du nom Liège.

. Il est probable que l'étymologie soit Leudico, forme francique attestée en 718, (de l'ancien germanique leudika, dérivé de leudi qui veut dire « peuple ») : « terre du peuple ou terre commune ». ( lien a faire avec le L et G)
La forme la plus ancienne connue est Luga, qui donna au XIIe siècle Lyge (prononcer [lidʒ]) d'où dérive son nom wallon Lîdje qui donna lui-même Liège. Le nom s'écrivait Liége (avec l'accent aigu) jusque 1946. Le changement vers l'orthographe avec l'accent grave, plus conforme à la prononciation locale, est contemporain du début du déclin de la base industrielle traditionnelle (charbon, fer) de la ville et de sa région.
Le nom tardif du ruisseau, la Légia, dérive de Liège, non l'inverse. Tout comme le nom latin de Leodium, invention des moines, qui fléchirent le vieux nom pré celtique, celtique ou germanique en un calembour sublime évoquant le martyre de saint Lambert, entre 696 et 705, comme si le patron de la cité avait été le Leo Dei, « le lion de Dieu » !
Elle est également souvent appelée « Cité ardente », cette appellation vient du titre d'un roman chevaleresque écrit par Henry Carton de Wiart en 1904. Ce roman raconte le sac de la ville de Liège par les troupes de Charles le Téméraire en 1468, malgré la résistance liégeoise (voir également l'article Six cents Franchimontois). L'appellation de « Cité ardente » n'est nullement antérieure à la parution de ce roman

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#Posté le mercredi 14 mai 2008 16:48

L'histoire de la cité depuis l'origine.



Le destin de Liège s'est scellé le jour où Lambert, évêque de Tongres, y fut assassiné au début du VIIIe siècle. Liège n'est alors qu'un petit bourg sis au confluent d'un ruisseau, la Légia, et d'un des nombreux bras de la Meuse. Sur ce promontoire (aujourd'hui la fameuse place Saint-Lambert), à l'abri des crues, on trouve des traces d'activités humaines depuis plus de 80000 ans (raison pour laquelle les archéologues s'intéressent tant à ce site). Mais ce n'est qu'à la faveur de cet assassinat que Liège prend véritablement son essor. Très vite, en effet, les pèlerins se ruent à Liège, lieu du martyr de Lambert, à tel point que son successeur, Hubert, décide d'y transférer la capitale du diocèse. Conséquence : la bourgade se peuple de nombreux religieux entraînant dans leur sillage commerçants et artisans, les premiers clochers apparaissent dans son ciel, Liège grandit rapidement et prend l'allure d'une véritable petite ville ecclésiastique.
Puis, en 972, arrive Notger, son nouvel évêque. Selon les chroniqueurs, "Liège doit Notger au Christ et le reste à Notger". Avec lui, en effet, Liège n'est plus seulement la capitale d'un diocèse mais aussi celle d'un Etat, une Principauté, qui, quoique intégrée dans le Saint-Empire germanique, va gérer ses affaires en toute indépendance pendant plus de 800 ans ! A sa tête : un prince-évêque qui détient à la fois le pouvoir religieux et le pouvoir civil. A son heure de gloire, la Principauté de Liège couvrira près d'un tiers de la Wallonie actuelle avec des ramifications dans le Limbourg flamand et hollandais ainsi que dans les Ardennes françaises.
Notger, premier prince-évêque, est un bâtisseur. Autour de la ville, il fait construire une enceinte fortifiée tandis que sur ce qui ne s'appelait pas encore la place Saint-Lambert, un palais et une cathédrale voient le jour. Aujourd'hui, le palais trône toujours fièrement sur la place (mais il ne ressemble plus en rien au premier palatium), par contre, la cathédrale a subi les foudres des révolutionnaires français qui l'ont complètement dépecée. C'était pourtant, disent les historiens de l'art, une merveille de l'Occident... Deux siècles plus tard, telle une sanction de l'Histoire, la place est toujours en chantier. On lui promet un bel avenir mais elle est devenue, aux yeux des étrangers et des Belges, le lieu symbolique des discordes liégeoises.
Le mot liberté a toujours, il est vrai, résonné avec une sonorité particulière dans les oreilles des Liégeois. C'est en son nom qu'ils ont de tout temps revendiqué, contesté, résisté. Comme Tchantchès, leur tête est de bois mais leur langue ne l'est pas. Au point parfois de désunir leurs efforts... Mais c'est aussi cet entêtement qui leur a permis d'obtenir très tôt du prince-évêque des chartes garantissant des droits importants pour les personnes et pour les corporations de métiers. Le Perron, sur la place du marché, symbolise ainsi l'attachement des Liégeois à leurs libertés.



Les deux grands boulevards , ceux de la Sauvenière et d'Avroy, étaient jadis des bras de la Meuse, Les assèchements ont eu lieu au cours du XIXème siècle:

Au XVIIIe siècle, les idées libérales des "Lumières" ont trouvé en bord de Meuse un terrain fertile. Comment s'étonner dès lors que Liège ait vécu également en 1789 sa propre révolution, dite "heureuse" car, au contraire de sa mère parisienne, elle n'a pas fait rouler les têtes ?
Elle annonçait pourtant la fin de l'indépendance liégeoise. En effet, les territoires de la Principauté seront bientôt séparés et annexés successivement à la République française (1795-1815) et au Royaume des Pays-Bas (1815-1830). En 1830, de nombreux Liégeois participeront à une autre Révolution, celle qui donnera vie à la Belgique.
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#Posté le mercredi 14 mai 2008 16:50

Modifié le vendredi 16 mai 2008 13:53

Le blason liégeois.

Description du Blason de la ville de Liège

Le fond rouge est d'origine française celui s'appelle l'écu français. Cet écu français est la base de toutes les armoiries française. Quand au fond rouge il représente tous les crimes sanglants qu'il y a eu dans l'histoire de fondation de Liège.

Il y a ensuite le Perron symbole de la liberté du peuple liégeois. Ce perron se compose de :
- Trois lions aux trois extrémités de la base.(on pourrait faire un rapprochement avec le martyr St Lambert appelé le « Lion de Dieux » mais ce n'est pas fondé).
- La colonne qui représente la puissance de Dieu ainsi que la croix qui est sur la pomme de pin Dieu règne sur la ville (l'origine des princes évêques)
- La pomme de pin ouverte en été fermé en hiver représente l'humeur de la population et l'activité dans la ville à l'époque.
- L et G se situent de part et d'autre de la colonne il signifient Libertes Gentis autrement dis la liberté du peuple liégeois.

Voilà pour l'histoire de l'armoirie mais celle-ci a évolué au cours de liège. L'appellation officielle des armoiries de la Ville de Liège a été fixée par arrêté du Régent du 1er février 1947.

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#Posté le mercredi 14 mai 2008 16:52

La montagne de Bueren

Montagne de Buerren.
De Hors-Château, laissant à gauche l'impasse des Ursulines serpenter à flanc de coteau, 373 marches mènent à la rue du Péri et à la Citadelle. Construit à la suite d'une décision prise par le conseil communal en mars 1875, cet imposant escalier perpétue le souvenir de Vincent de Bueren (vers 1440-1505), un noble d'origine gueldroise qui fut un des plus acharnés défenseurs de Liège contre le duc de Bourgogne, Charles le Téméraire.
L'ascension est fort heureusement facilitée par la présence, à intervalles réguliers, de paliers, où quelques bancs permettent de regarder à l'aise la ville qui petit à petit se révèle. C'est d'abord la masse grise de l'îlot Saint-Georges, la haute silhouette de la cité administrative, puis la coulée miroitante de la Meuse sous le pont des Arches.
L'Histoire des 600 franchimontois
En octobre 1468, les révoltes sont à leur comble, l'évêque s'échappe de la cité épiscopale, mais les Liégeois le rattrapent à Tongres et le ramènent à Liège. Ce dernier fait irrite son cousin, le duc de Bourgogne, Charles dit "le Téméraire", qui résolut de venir à Liège ramener l'ordre et asseoir son autorité. Louis XI est, à titre d'humiliation, contraint de l'accompagner pour lui servir de témoin.
Le 22 octobre, une milice liégeoise tente d'enrayer la progression de l'armée bourguignonne et se fait écraser à Lantin.
Le 26 octobre, une attaque tente encore de déloger les soldats ennemis des faubourgs de la ville. En désespoir de cause, Gosuin de Strailhe et Vincent de Bueren rassemblent les dernières forces disponibles, dont fait semble-t-il partie un important contingent venu du pays de Franchimont, pour une dernière tentative nocturne.
Dans la nuit du 27 au 28 octobre, le petit groupe d'hommes monte vers Sainte-Walburge, où est établi le campement des ennemis. Ils comptent sur l'effet de surprise pour capturer le duc de Bourgogne et Louis XI et ainsi inverser le rapport de force. Arrivés sur les lieux, les hommes parviennent à maîtriser les sentinelles, mais ils perdent du temps à combattre les soldats bourguignons plutôt que de se rendre là où les chefs logent dans le camp. Ceux-ci ont donc le temps d'organiser une contre-offensive.
Le lendemain, en guise de représailles, la ville de Liège fut mise à sac et incendiée. Son incendie dura, dit-on, sept semaines.
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#Posté le mercredi 14 mai 2008 17:08

Le palais des princes Evêques

Le Palais des Princes Evêques

Le Palais des Princes-Évêques de Liège se situe sur la place Saint-Lambert dans le centre de Liège.
Son imposante façade domine le fond de la place St-Lambert, centre de la vie commerçante de Liège où s'élevait jadis la Cathédrale Saint-Lambert.
Deux constructions précédèrent l'actuel Palais des Princes-Évêques, un premier palais intégré dans les fortifications, fut édifié vers l'an mil par le prince-évêque Notger, mais il disparu dans un incendie en 1185, le palais fut reconstruit sous Raoul de Zähringen. La deuxième construction, fortement abimée après le sac de 1468 par les Bourguignons, subit le même sort en 1505.
Montant sur le trône épiscopal de Liège en 1505, le prince-évêque Érard de La Marck, trouva un palais en ruine, il confia la construction d'un tout nouveau Palais à l'architecte Arnold Van Mulcken en 1526, il fut achevé à la fin du XVIe siècle. La façade principale coté Sud fut entièrement refaite après son incendie en 1734 en style Louis XIV-Régence sous la direction de l'architecte bruxellois Jean-André Anneessens, fils de François Anneessens.
En 1849, une nouvelle aile occidentale fut construite par l'architecte Jean-Charles Delsaux, dans le même style que l'ancien palais, afin d'accueillir les services du Gouvernement Provincial.
Actuellement le bâtiment est occupé à la fois par les services provinciaux et le Palais de Justice. La grande cour est entourée de galeries aux arcades surhaussées et de 60 colonnes galbées, à la fois massives et élégantes, surmontées de chapiteaux richement ornés. La variété de la décoration des colonnes est extraordinaire. La petite cour à laquelle on accède par des couloirs parait plus intime.
Les institutions judiciaires de Liège étant dispersées sur une quinzaine de sites dans la ville, un vaste projet, très controversé, d'extension du Palais a été adopté. Il prévoit la construction de plusieurs bâtiments face au coté occidental du Palais afin maintenir la justice au centre de la cité.

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